Erri de Luca: "Je continue à habiter des feux éteints"
Quand le magnifique Erri de Luca chante à notre micro « Questa pianura », la version italienne du “Plat Pays” de #Brel, par son défunt ami #GianmariaTesta. #letempsdesecrivains spécial #errideluca c’est demain samedi 17h @franceculture #jacquesbrel #letourdeloie @Gallimard pic.twitter.com/L36z0WkSD6
— Ch. Ono-dit-Biot (@C_Ono_dit_Biot) February 15, 2019
Cette semaine dans Le Temps des écrivains, une émission spéciale puisque nous sommes en compagnie de l’un des plus grands écrivains italiens contemporains, Erri de Luca. Il publie aujourd’hui chez Gallimard, traduit par Danièle Valin, « le tour de l’oie », un petit livre d’une grande beauté et d’une grande profondeur, qui nous a fait nous inquiéter pour lui. D’abord, parce qu’on y lit ce genre de phrases : « Qu'est-ce que je suis censé faire de ton souvenir ? (…) Tu es en train de rédiger ton testament ? »